Cet organisme devrait être renommé Sous-Traitance Québec … Tous les Québecois devraient être révoltés par cette décision, elle est dangereuse ! C’est scandaleux !

Je vous invite à bien écouter l’audition de cet ancien Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique français lors d’une commission d’enquête sur la commande publique qui traite exactement de la même problématique

https://colter.social/@nicolasvivant/114666184094023035

  • theprogman
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    7 days ago

    C’est scandaleux, oui. Déjà que Santé Québec puisse prendre ces décisions sans devoir rendre des comptes devant le public québécois, en plus, de ne pas envisager des solutions alternatives.

    Il faudra vraiment que le prochain gouvernement, qui j’espère ne sera pas la CAQ, comprenne que l’enjeu de la souveraineté numérique c’est une façon de construire le futur du Québec. Si on ne favorise pas des entreprises et des organismes québécois pour faire ce genre de contrat avec des solutions en logiciels libres, on sera toujours pris avec les GAFAM, en plus de l’argent déboursé qui quitte le Québec.

    En même temps, à connaître la CAQ, si ça avait été une firme québécoise de ti-namis on aurait eu droit à SAAQClic 2.0. Je me répète, mais quel gouvernement d’incompétent.es

    • RelativityRangerOP
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      7 days ago

      Des népotistes qui s’assument plus 🤬
      Savoir que Québec a sa propre infrastructure financée par le contribuable et la capacité technique d’héberger ses propres outils libres et connectés …

  • RogerVolant
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    7 days ago

    Dans un monde moins débile, j’aimerais que l’UPAC fasse une vérification auprès des personnes prenant la décision pour savoir si des montants ont été perçus et/ou je leur interdirait de travailler chez Microsoft ou société-soeur pendant 25 ans. Je sais, je rêve.

    Sinon, j’ai demandé à mon député la mise sur pied d’un organisme indépendant du gouvernement qui capterait 1% de tous les contrats informatiques pour développer du code libre pour le gouvernement du Québec et les municipalités. Nous pourrions aussi contribuer à des initiatives de code libre pour administrations publiques ailleurs dans le monde.

    En 2025, si les GAFAM sont choisis pour certains services du gouvernement c’est une question de stratégie de marché et de politique, pas de technologie.