• Snoopy@jlai.lu
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      3
      ·
      8 months ago

      C’est bien sur une blague, j’apelle ça de la branlette intellectuelle

      • CeJiDe@jlai.lu
        link
        fedilink
        Français
        arrow-up
        6
        ·
        8 months ago

        L’histoire de l’art et la compréhension de l’art contemporain est pourtant quelque chose de sérieux. J’ai appris à aimer l’art contemporain grâce aux cours d’histoire de l’art à l’université. On se pose beaucoup moins la question pour la musique par exemple parce qu’on y est beaucoup plus exposé. C’est une question d’habitude en fait, et de connaissances aussi.

        • Snoopy@jlai.lu
          link
          fedilink
          Français
          arrow-up
          3
          ·
          8 months ago

          J’ai fais 7 ans d’étude en Art (art appliqué et beaux art) et j’ai du mal avec l’art conceptuel de l’Art contemporain. Ya un certain plaisir qui découle dans le non-pictural mais plutot l’assemblage de mots, le processus.

          Et je suis beaucoup plus sensible à la maitrise des outils, à l’artisanat qui fait partie de l’Art. La finesse du trait, les nuance de couleur et ça me reveille des émotion fortes. C’est une fenetre sur le monde.

          En revanche, une chaise avec un écritaux, des bout de bois et cartons patchworké…j’ai du mal à accorder le moindre sérieux à l’artiste. Et encore aux BA, je me rapelle des porte en papier de riz qu’on défonçait en courant, ou d’une machine qui faisait des lignes au fusain en fonction du nombre de visiteurs, des artiste qui travaillait dans leur vomis, des poèmes discordant. Le tout avec des analyses expliquant le pourquoi et le comment de ces horreurs. J’ai été profondément marqué.

          C’est encore pire quand tu voyais ume dessinatrice talentueuse qui faisait les miniature comme chevailler. Elle a pas vraiment été soutenu pour ça. En revanche le jour où elle a signé sur un papier aigle un poème on l’a félicité. Son oeuvre etait merdique, rien à voir par rapport à ce qu’elle était capable de faire, en revanche l’intention, le processus.

          De plus les profs n’enseignaient pas les mélange des couleurs, les nuanciers, ça, c’était sur le tas en autodidacte…des references, de l’histoire, c’est bien et les outils : perspective, ombre-lumière, couleur ? Ça c’est l’école Olivier de Serre qui me l’a enseigné.

          C’est triste pcq j’ai eu deq prof des BA en auditeur libre et ceux-ci nous disait qu’on avait de la chance d’etre ici car ce qu’iels enseignaient était conceptuel.

          Donc j’ai finalement un avis assez mitigé sur l’Art contemporain. Ya des branches que j’aime bien, d’autre moins. Keramsi et Djamel Tatah par exemple.