Tandis que le comité de sages sur l’identité de genre formé par Québec s’apprête à déposer son rapport à la fin du mois, le Conseil québécois LGBT veut lui envoyer un message clair. « On s’attend à [ce qu’il n’y ait] aucun recul de nos droits et aucun recul dans l’accès aux services », lance, inquiet, le directeur général de l’organisme, James Galantino.

Même si la ministre Suzanne Roy, qui a mis sur pied le comité il y a plus d’un an, avait promis de ne pas revenir sur la question des droits existants, le contexte social et la “montée de la haine” nourrissent les appréhensions de M. Galantino.