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Au-delà de la joke la plus complète que représente ce dossier, ce paragraphe me fâche le plus:
Cette prouesse informatique survient alors que l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) vient d’accorder 1,13 million à l’entreprise parisienne Spirtech pour développer une application semblable. À la clé, le contrat prévoit des redevances versées sur chacune des quelque sept millions de transactions annuelles projetées pour l’achat de titres de transport sur mobile.
Veux-tu me dire, ciboire, pourquoi on est pas capable de trouver une compagnie québécoise pour faire ça? C’est pas comme si le projet demandait des experts ultra spécialisés et rares. Pourquoi un projet qui peut potentiellement générer beaucoup de profits (avec les redevances) ne trouve pas preneur ici? Tk, tout ce dossier est tellement risible…
Sans oublier que le fait de recharger sa carte OPUS est un pas en avant, mais un pas en avant dans la mauvaise direction pareil. Ils devraient investir dans un système qui utilise le NFC du téléphone/smartwatch/whatever a la place de l’utiliser pour recharger la carte… On est en 2023 et acheter des billets de métro est toujours un processus chiant lent et qui laisse place a l’erreur (erreurs d’écrirure avec le NFC, carte bouge sur le dos du téléphone, bidule a 15$ qui se débranche, etc., etc.). Les autres métros dans le monde sont capables de le faire, pourquoi pas nous?? Surtout avec un budget de 1M$ + 2% de chaque ducking transaction qui s’en va dans les poches d’une compagnie étrangère qui va se faire Ben du cash sur notre dos pour même pas régler le problème a la source.