Pendant que les refuges débordent, les haltes-chaleur, qui ont ouvert leurs portes pour l’hiver, n’offrent bien souvent qu’une chaise pour la nuit et un repas aux sans-abri. Et elles sont elles aussi pleines à craquer, ce qui laisse bien peu d’options aux personnes vulnérables qui veulent sortir de la rue. Faute de place, ces dernières n’ont parfois d’autres choix que d’affronter les grands froids. Un dossier d’Isabelle Ducas.
Tant qu’ a dormir sur une chaise, faite d’une pierre deux coup. allez prendre un numéro à l’urgence pour un des nombreux bobos inévitable quand on est sans abris. Des heure d’ attente au chaud et une consultation en bonus.
C’est vraiment une situation merdique qui empire depuis des années.
Sérieux hein? C’est juste qu’ils ne servent pas de bouffe.