• brsrklf@jlai.lu
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    7 months ago

    C’est pas une défaite de la culture, c’est une (petite) défaite de la SACEM et leur racket à la con.

    Bouhouhou, quelques gigaoctets de mémoire qui n’auraient jamais été utilisés pour stocker leur propriété intellectuelle n’iront pas renflouer une infime minorité d’auteurs, tous déjà riches et célèbres.

    • Որբունի@jlai.lu
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      7 months ago

      Ils rackettent également ceux qui ont l’outrecuidance de diffuser de la musique libre de droit, ils ne sont pas à demander une taxe à l’infini près.

    • mat@jlai.lu
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      7 months ago

      N’oublie pas que certains sont morts (coucou Ravel)

      • brsrklf@jlai.lu
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        7 months ago

        Ah ben oui, aussi, tant qu’à faire, c’est vrai qu’il y a ça.

        Dépéchez-vous de décider si c’est dans le domaine public ou pas, après tout je pourrais décider de remplir mon nouveau disque dur avec 2 milliards de MP3 du Boléro, et je m’en voudrais de pas payer les arrières-petits-enfants de Ravel et tous ses potes du coup.

          • brsrklf@jlai.lu
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            7 months ago

            Ah. Effectivement, ça ajoute un peu de sel à toute l’histoire…

            C’est donc la fille de la seconde femme du mari de la masseuse du frère de Ravel qui, aujourd’hui encore, est ayant droit de l’œuvre du compositeur.

            Monde de merde.

            • mat@jlai.lu
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              7 months ago

              De base, 70 ans de droits d’auteur après la mort est une hérésie. Elle est où la valeur travail dans tout ça ?