L’espagne en 2026 est tout de suite super tentante, c’est même pas vraiment descriptible l’effet d’une éclipse totale, c’est tellement unique que j’arrive pas a y mettre les mots. Une combinaison de la rareté, de l’anticipation, de l’inconnu de quelque chose qu’on croit si bien connaître parce que c’était chez nous littéralement, ce côté rassembleur a voir tout le monde dehors attendre la même chose. Je sais pas si prendre un avion pour assister a une autre éclipse aurait le même effet…
C’est fou de se dire que au final, c’est juste 2 boules de l’espace qui passent l’une (pun semi intended) devant l’autre. Et en soit c’est rien de super magnifique, mais le fait de le voir en vrai avec l’atmosphère qui vient avec rend ça tellement émouvant et merveilleux. C’est juste maintenant que je me rend compte de la chance qu’on a eu d’avoir eu un tel phénomène sur une si belle journée malgré que ce soit un lundi. Ça aurait pas pu être plus parfait, pas un nuage, température parfaite.
A force de modifier mon commentaire je pense que la raison que j’ai trouvé ça si magnifique était la perfection de la chose. C’était probablement la seule que je vais voir de ma vie et ça aurait pas pu mieux se passer. Tout y était.
La perfection. Je pense que c’est ça le mot qui décrirait le mieux la sensation et ce qui expliquerait le sentiment que ça provoque. Ya rien de parfait dans la vie, mais c’est probablement la journée qui s’en rapproche le plus. Je m’en souviendrai longtemps de ce lundi 8 avril 2024…
C’est certain que l’aspect social et rassembleur de l’évènement a apporté un petit quelque chose qui est intangible. Un beau spectacle et la réalisation de l’effet de la gravité et de la relativité générale de ce beau ballet cosmique sur l’environnement (la baisse de température) et la nature (les oiseaux du matin qui chantaient) qui m’a fait sentir petit.
Pour ma part je contemplais l’idée d’ajouter un filtre pour mes lentilles pour photographier le soleil en toute sécurité, mais finalement j’ai suivi le conseil de vivre l’évènement et m’en souvenir. La possibilité de voyager serait sûrement plus pour assouvir/raviver ma passion pour la photographie.
En regardant un peu plus pour 2026, ça serait possible d’avoir 20 secondes de plus en Islande qu’en Espagne. Rendu là faudrait juste planifier un voyage dans ces dates là tout simplement.
L’espagne en 2026 est tout de suite super tentante, c’est même pas vraiment descriptible l’effet d’une éclipse totale, c’est tellement unique que j’arrive pas a y mettre les mots. Une combinaison de la rareté, de l’anticipation, de l’inconnu de quelque chose qu’on croit si bien connaître parce que c’était chez nous littéralement, ce côté rassembleur a voir tout le monde dehors attendre la même chose. Je sais pas si prendre un avion pour assister a une autre éclipse aurait le même effet…
C’est fou de se dire que au final, c’est juste 2 boules de l’espace qui passent l’une (pun semi intended) devant l’autre. Et en soit c’est rien de super magnifique, mais le fait de le voir en vrai avec l’atmosphère qui vient avec rend ça tellement émouvant et merveilleux. C’est juste maintenant que je me rend compte de la chance qu’on a eu d’avoir eu un tel phénomène sur une si belle journée malgré que ce soit un lundi. Ça aurait pas pu être plus parfait, pas un nuage, température parfaite.
A force de modifier mon commentaire je pense que la raison que j’ai trouvé ça si magnifique était la perfection de la chose. C’était probablement la seule que je vais voir de ma vie et ça aurait pas pu mieux se passer. Tout y était.
La perfection. Je pense que c’est ça le mot qui décrirait le mieux la sensation et ce qui expliquerait le sentiment que ça provoque. Ya rien de parfait dans la vie, mais c’est probablement la journée qui s’en rapproche le plus. Je m’en souviendrai longtemps de ce lundi 8 avril 2024…
C’est certain que l’aspect social et rassembleur de l’évènement a apporté un petit quelque chose qui est intangible. Un beau spectacle et la réalisation de l’effet de la gravité et de la relativité générale de ce beau ballet cosmique sur l’environnement (la baisse de température) et la nature (les oiseaux du matin qui chantaient) qui m’a fait sentir petit.
Pour ma part je contemplais l’idée d’ajouter un filtre pour mes lentilles pour photographier le soleil en toute sécurité, mais finalement j’ai suivi le conseil de vivre l’évènement et m’en souvenir. La possibilité de voyager serait sûrement plus pour assouvir/raviver ma passion pour la photographie.
En regardant un peu plus pour 2026, ça serait possible d’avoir 20 secondes de plus en Islande qu’en Espagne. Rendu là faudrait juste planifier un voyage dans ces dates là tout simplement.