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En même temps, dès le départ la différence entre Twitter et les agoras hellénistiques c’est que l’un n’est pas géré par la cité mais est complètement privé. Et je n’ai jamais compris que les politiques aient pu défendre twitter comme une agora. Si elle n’est pas publique, alors ce n’est pas une agora mais plutôt un salon privé et dans ce cas, on perd vite la notion de bien publique et d’indépendance.
Bel article, merci. Dès que j’aurais le temps je partagerais une lecture collective de toxic data, le livre de David Chavarias :)