Voilà mon setup dans un 24m2 (encore en construction)
Oui je sais un peu bordélique avec les câbles mais c’est encore en travaux.
Bien sûr les caractéristiques de l’engin pour de la cartographie et du jeu.
Voilà mon setup dans un 24m2 (encore en construction)
Oui je sais un peu bordélique avec les câbles mais c’est encore en travaux.
Bien sûr les caractéristiques de l’engin pour de la cartographie et du jeu.
Ça veut dire quoi “bleeding edge”? Et “appimage”?
Bleeding edge ça désigne les mises à jour les plus récentes, dans ce contexte c’est configurer son système pour toujours avoir la toute dernière version. Avec les fonctionnalités les plus récentes mais aussi les bugs les plus récents, qu’on peut être le premier à découvrir, c’est de la que vient le bleeding, on peut se couper. Il y a déjà l’expression “cutting edge” pour dire à la pointe, la ça veut dire tellement à la pointe que c’est coupant et dangereux.
Et Appimage c’est un format de distribution de logiciel. Linux fonctionne principalement avec des gestionnaires de paquets, il y en a différent utilisés par différentes distributions. Ce sont les contributeurs des gestionnaires de paquets qui se chargent d’ajouter les différents logiciels à chaque gestionnaire de paquet. Le créateur d’un logiciel est donc dépendant de ces contributeurs pour que son logiciel soit disponible dans les différentes distributions Linux et qu’il y soit maintenu à jour. L’alternative c’est d’avoir un format de paquet qui n’est pas lié à la distribution, ainsi c’est le créateur du logiciel qui peut créer le paquet. C’est ce que font Appimage, Snap et Flatpak, car bien sur ce serait trop simple s’il n’y avait qu’un format. J’ai simplifié et il y a des avantages et désavantages à ce système de distribution de logiciel, des considérations de sécurité et des différences entre les 3 alternatives.
Merci pour la leçon.