October 14th, 2024 Richard Stallman (aka “RMS”) is the founder of GNU and the Free Software Foundation and present-day voting member of the Free Software Foundation (FSF) board of directors and “Chief GNUisance” of the GNU project. He is responsible for innumerable contributions to the free software movement, setting its guiding principles, organizing political action, and directly contributing to a flourishing free software ecosystem. The majority of Stallman’s political activity has been of priceless value to society at large.
Effectivement, ça amplifie leur role au delà de ce qu’il est réellement.
Quant au tort, yen a pas vraiment. J’ai une partie de la réponse avec l’abbé de l’épée quand il a créé les écoles pour Sourds et Sourdes. En fait, la création de sa mythologie, de sa rencontre avec les 2 soeurs jumelles qui signaient lors d’une nuit d’orage servait plusieurs desseins et c’était une décision collective. D’où ma reponse ya pas vraiment de tort.
Si on regarde l’abbé Pierre, la raison pour laquelle on a rien dit sur les viols commis c’est pour son image et l’argent qu’il attirait. On l’a utilisé et les gens donnent pcq iels veulent faire le bien et améliorer la vie des autres.
C’est en partie pour cela que je mentionne l’imaginaire du héro. Et comme tu dis la figure du héraut devrait évoluer en moins individuel. Moins charismatique.
Tim berner lee. Là on revient aussi sur l’individualité. La méritocratie.
Ceci dit merci pour les noms :)
Donc on peut virer RMS, Eric Raymond…Très juste pour Linus Torvald après il parle très peu de la politique du logiciel libre. Je pense surtout qu’il l’a choisis pragmatiquement et qu’il est concentré sur le kernel.
Perso j’aimerais qu’on prenne le gout du collectif, mais je sais pas si on touche pas à un instinct fondamental là de vouloir des figures humaines derrières les grands mouvements.
Il me manque des elements pour développer si c’est instinctif/culturelle. Et comment developper d’avantage la structure, la pensée collective.
En fait, je n’ai pas de référence qui me viennent en tete. À part l’impro au théàtre, là je crois qu’on tient quelque chose pour développer l’empathie, le groupe et prendre des distances car chaque perso a une part d’ombre et lumière et on joue des roles qui nous correspondent pas.
Même dans un collectif, ya des problèmes structurels et ce sont les groupes externes qui l’empeche de se refermer sur lui-meme
Je pense que je m’éloigne de ta définition du collectif. Pour passer du je au nous, cela revient à répartir le temps de parole, l’équilibrer.
Je pense pas que ce soit instinctif…d’un coté si je te complimente, ça fait plaisir. Donc ya un truc instintif aussi. faudrait voir qu’elles sont les autres formes de récits possibles et je manque cruellement d’exemples.
Si on narre des histoires de héro, amha, c’est parce que c’est plus facile de :
Bref je pense quc je sues parti sur nul part, pardon.