. Ils ont considéré que le géant avait sous-estimé ses revenus imposables aux Etats-Unis – 9 milliards de dollars sur les trois ans examinés – par la façon dont il avait établi le montant reversé par des sociétés affiliées au Brésil, au Chili, au Costa Rica, en Egypte, en Irlande, au Mexique et au Swaziland.

Donc si ce redressement passe (ce qui est peu probable), ce sont les filiales qui vont payer la note au final, ce sera une perte pour elles et moins d’impot récolté par les pays concernés.