• Tibert@jlai.lu
    link
    fedilink
    arrow-up
    5
    arrow-down
    1
    ·
    edit-2
    1 year ago

    Personnellement je détesterais voir ça dans un texte. Je n’y comprendrais pas grand chose.

    • iel n’a aucun sens pour moi, étant un mot singulier, soit il soit elle ?
    • Adelphe ? Pour frère/soeur je suppose. Mais vu que je ne l’ai jamais utilisé je n’ai pas compris ce que ça voulais dire avant de chercher.
    • Celleux… J’ai du regarder un peu pour comprendre que c’est dérivé de celles et ceux.
    • Affaires de Piasses
      link
      fedilink
      arrow-up
      4
      ·
      1 year ago

      Je comprend que ça soit déroutant au début, mais c’est uniquement une question d’apprentissage, de vocabulaire.

      Une fois que tu as croisé 2-3 fois ces mots là ils s’intègrent dans le flux normal de la lecture et de l’utilisation, et ça fonctionne bien, sans autre changement d’usage.

    • Camus (il, lui)@jlai.luOP
      link
      fedilink
      arrow-up
      2
      ·
      1 year ago

      Franchement, on s’y fait. J’étais un peu réticent au début, mais maintenant c’est presque devenu naturel.

      • flyos@jlai.lu
        link
        fedilink
        arrow-up
        2
        ·
        1 year ago

        On s’y fait nous, oui, mais ça sera toujours une difficulté supplémentaire pour une partie de la population avec des difficultés de lecture. Je trouve tout de même que le point médian s’est imposé comme synonyme de l’écriture inclusive dans beaucoup de débats alors que d’autres solutions inclusives, comme la double flexion avec l’accord de proximité, permettent de conserver la lisibilité et le lien avec l’oral.

    • Papamousse@beehaw.org
      link
      fedilink
      arrow-up
      2
      arrow-down
      1
      ·
      1 year ago

      pareil pour moi, si je vois “iel est heureuxe” je ne comprends pas tout, j’imagine un article ou un livre écrit comme ça, impossible d’accrocher.