• Wi(vΛ)lem Ort(Λv)iz@jlai.lu
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      4
      arrow-down
      1
      ·
      5 months ago

      Jouer avec le marché en tentant d’influencer artificiellement les prix de manière importante

      Les prix dans l’agroalimentaires ne sont pas fixés par “le marché” mais par des pratiques quasi-mafieuses de centrales d’achat qui font déjà ce que tu crains, à savoir “influencer artificiellement les prix de manière importante” en forçant beaucoup de producteurs à vendre à perte. Le problème c’est pas les prix mais les marges…

      Et puis bon, les leçons d’économie de BFMTV c’est pas l’idée que je me fais du “pluralisme”, ça s’appelle le discours dominant, je te le dis parce que je n’ai pas bas-voté.

        • Wi(vΛ)lem Ort(Λv)iz@jlai.lu
          link
          fedilink
          Français
          arrow-up
          3
          arrow-down
          1
          ·
          edit-2
          5 months ago

          Le discours dominant du fedivers, c’est absolument pas BFMTV, surtout dans cette communauté.

          Donc remettre une couche d’économie selon BFMTV c’est intéressant parce que… les opinions de droite sont l’inverse de l’ambiance du Fédivers ?

          Pour ce qui est des sources sur les pratiques dégueulasses des centrales d’achat des géants de l’agroalimentaire et des hypermarchés, je ne sais pas si tu me demandes des sources pour la forme ou parce que tu doutes, mais tu as raison j’aurais pu sourcer.
          Il y a plein d’articles sérieux sur leurs pratiques qualifiées de racket, et même un documentaire sur arte avec caméra cachées qui ne laissent aucun doutes sur les pressions et les chantages subis dans ce rapport de force totalement déséquilibré (qu’on appelle “le marché”): Francetv, Public Senat, Le monde

    • bitflag@lemmy.worldOP
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      2
      ·
      5 months ago

      Même si c’est fait de façon parfaite, ça sera toujours moins efficace et ciblé que de distribuer du pouvoir d’achat aux ménages qui en ont vraiment besoin via une subvention quelconque (la prime d’activité par ex, où un crédit d’impôt pour les plus faibles revenus). Là on va plafonner le prix de l’essence ce qui avantager pas mal ceux qui ont le réservoir de 90 litres d’une Lamborghini.

      Et puis y’a une contradiction fondamentale à parler de décroissance et à garder le prix de l’essence artificiellement bas…