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D’une manière générale, si la pertinence du congé menstruel peut sans doute être discutée et que les considérations économiques ne doivent sans doute pas être éludées, ces réflexions ont le mérite de mettre à jour, qu’en 2024, même dans les pays occidentaux, si elles ne sont plus un tabou, les règles demeurent un obstacle. Et ce n’est peut-être pas une si complète contradiction que de vouloir que les femmes puissent accéder aux mêmes tâches que les hommes en bénéficiant tout en même temps du plus grand confort au moment où elles saignent (afin que ce détail ne soit plus une entrave). Cela implique par exemple un accès aux protections périodiques et à des sanitaires adaptés. Or, aujourd’hui, dans les collèges et les lycées le manque de propreté des sanitaires contribue encore à l’inconfort d’un trop grand nombre de jeunes filles. Voilà qui ne nécessiterait même pas une loi et un simulateur (quoique) pour être changé !
Et cest franchement “pas deconnant”.
En prenant un contexte ou l’employeur est “correct” et qu’il instaure de la “qualite de vie au travail”. Un employé qui a les genoux rinces, on adapte son poste de travail. Pareil pour les TMS, on adapate les postes de travails, hauteurs ecran, materiel specifique si necessaire selon l’individu et potentiels reco de la medecine du travail etc.
Pourquoi c’est juste pas naturel et cela ne coule pas de source dans le cas de la femme.Et sans parler du contexte specifique ou cela se “passe bien”. La route est longue et j’ai limpression qu’elle sera pas semé d’embuches mais d’obstacles infranchissables.
Merci pour le partage, j’ai repartagé vers [email protected]