Travailler, un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre écrit par Ploum, Lionel Dricot, ingénieur, écrivain de science-fiction, développeur de logiciels libres.
Il y a aussi énormément de bullshit jobs, et de surproduction.
On pense évidemment au marketing, mais il y a plein de choses plus insidieuses qu’on pourrait remettre en question. A-t-on vraiment besoin de voitures aussi grosses et perfectionnées ? De logistique compliquée pour nous amener des fruits venant de l’autre côté de la planète ? De 6g? Etc. Même dans la médecine, on est dans une course en avant qui coûte de plus en plus cher sans que les bénéfices réels ne soient toujours établis.
Après, reste la grande question de comment changer. Il me semble que la semaine de 4 jours pourrait être un pas dans le bon sens, mais peut-être pas assez radical.
En vrai, on aurait besoin d’un peu de planification centralisée. Mais ça demanderait des politiques dignes de ce nom.
Je ne suis pas certain qu’il y ait énormément de bullshit jobs. On en parle beaucoup, mais on critique aussi beaucoup le travail des autres sans vraiment savoir en quoi il consiste.
La théorie “bullshit jobs” est controversée. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs
Par exemple l’auteur dénonce une liste finie de postes : les « larbins » ou « faire-valoir », servant à mettre en valeur la hiérarchie ou la clientèle ;
Ok peut-être.
les « porte-flingue » ou « sbires », recrutés car les concurrents emploient déjà quelqu’un à ce poste, et dont le travail a une dimension agressive ;
C’est une classification négative de “chargé de mission” qui a pour objectif d’améliorer un fonctionnement de l’entreprise.
les « rafistoleurs » ou « sparadraps », employés pour résoudre des problèmes qui auraient pu être évités ;
Parce que c’est super simple, il suffit d’éviter tous les problèmes…
les « cocheurs de cases », recrutés pour permettre à une organisation de prétendre qu’elle traite un problème qu’elle n’a aucune intention de résoudre ;
Des chargés de mission qui sont nuls.
les « petits chefs » ou « contremaîtres », surveillant des personnes travaillant déjà de façon autonome
Des petits chefs qui sont nuls. Les bons chefs sont des intermédiaires qui font écran dans les deux sens. Ils empêchent les perturbations de descendre vers ceux qui font.
Celui qui a lancé le concept de bullshit jobs est juste quelqu’un d’aigri. Et personne ne l’a lu. Tout le monde s’est approprié le terme pour y transposer sa haine du travail des autres.
Il y a aussi énormément de bullshit jobs, et de surproduction.
On pense évidemment au marketing, mais il y a plein de choses plus insidieuses qu’on pourrait remettre en question. A-t-on vraiment besoin de voitures aussi grosses et perfectionnées ? De logistique compliquée pour nous amener des fruits venant de l’autre côté de la planète ? De 6g? Etc. Même dans la médecine, on est dans une course en avant qui coûte de plus en plus cher sans que les bénéfices réels ne soient toujours établis.
Après, reste la grande question de comment changer. Il me semble que la semaine de 4 jours pourrait être un pas dans le bon sens, mais peut-être pas assez radical.
En vrai, on aurait besoin d’un peu de planification centralisée. Mais ça demanderait des politiques dignes de ce nom.
Je ne suis pas certain qu’il y ait énormément de bullshit jobs. On en parle beaucoup, mais on critique aussi beaucoup le travail des autres sans vraiment savoir en quoi il consiste. La théorie “bullshit jobs” est controversée. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs
Par exemple l’auteur dénonce une liste finie de postes :
les « larbins » ou « faire-valoir », servant à mettre en valeur la hiérarchie ou la clientèle ;
Ok peut-être.
les « porte-flingue » ou « sbires », recrutés car les concurrents emploient déjà quelqu’un à ce poste, et dont le travail a une dimension agressive ;
C’est une classification négative de “chargé de mission” qui a pour objectif d’améliorer un fonctionnement de l’entreprise.
les « rafistoleurs » ou « sparadraps », employés pour résoudre des problèmes qui auraient pu être évités ;
Parce que c’est super simple, il suffit d’éviter tous les problèmes…
les « cocheurs de cases », recrutés pour permettre à une organisation de prétendre qu’elle traite un problème qu’elle n’a aucune intention de résoudre ;
Des chargés de mission qui sont nuls.
les « petits chefs » ou « contremaîtres », surveillant des personnes travaillant déjà de façon autonome
Des petits chefs qui sont nuls. Les bons chefs sont des intermédiaires qui font écran dans les deux sens. Ils empêchent les perturbations de descendre vers ceux qui font.
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