• Kabe@jlai.lu
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    1 year ago

    J’ai pas tout lu et je crois pas qu’il y ait eu un article de chez eux que j’ai vraiment apprecié. A priori la fautes aux agriculteurs qu’il y ait des inondations mais pas aux quelques mois de pluies. On leur reproche de ne plus faire ce qu’ils faisaient quand ils etaient 10 fois plus nombreux. Ca annonce que c’etait mieux avec des eleveurs de betails que des champs de … bouffe pour le betails. Bref sans queue ni tete c’est des temoignages a vif qui partent dans tout les sens. La plupart des regions ont été travaillé par les payans pour rendre les terres viables sur plusieurs generations, certaine entretenue pour les garder mais on est plus le monde paysan d’autre fois. Bref c’est des ancients marecages

    • Syl@jlai.lu
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      1 year ago

      Disons que ça fait partie du problème. Il y a effectivement eu une quantité d’eau importante en peu de temps, et si la terre n’est pas suffisamment aérée pour qu’elle s’infiltre, ça va ruisseler. C’est une des problématiques soulevées dans le rapport du GIEC.

      Il faut très certainement se poser la question de ce qu’on souhaite faire dans un monde qui change: moins de bétail, produire de la nourriture qu’on consomme, retravailler les terres pour empêcher ces problèmes, voir si on peut remplir les nappes quand la sécheresse va arriver…

      • Kabe@jlai.lu
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        1 year ago

        Les nappes était pleines, les sols saturés, l’eau trouve sont chemin jusqu’à la mer et sur les terrains plat/creux/bas ca sera forcement problématique. Mais oui tous les drains, évacuations ca se dégrade et encore plus après tempêtes et pluies ce qui fait boule de neige. Mais je suis d’accord aussi qu’un champ cultivé à nu peut être plus proche d’un parking que d’une prairie, comme les aménagements civil qui peuvent faire barrage, déviation ou entonnoir. Quand l’eau surpasse les protections et s’engouffre en cisaillant tout, créant de nouvelles failles et en déviant les flux ca fait un carnage. Je me rappel d’il y a plusieurs années, d’inondations où des débris (arbres morts presque entier) ont formés des barrages sur des ponts déviant la partie haute et ouvrant petit à petit des digues de terres, d’un petit champs de mais dans un virage où les épis se sont couchés/incurvés et fait barrage en déviant dans l’autre sens, en l’espace d’une heure ca fait des étendues énormes inondées