The whole commute is semi-protected bike lanes, frankly having them be fully protected would be useless since the speed limits are quite low.
I’m so happy the urbanist party holds the mayors office, elections are coming up so I hope it holds.
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Aaah St-Hya. J’y ai habité pendant quelques années car je viens d’Acton Vale et je ne voulais pas d’auto. Il y a du transport en commun et c’est à l’extrémité du territoire métropolitain alors je trouvais ça parfait. J’ai bien aimé mais justement, je crois que le réseau cyclable dans la ville n’a pas changé en 20 ans, sauf pour l’extension de Casavant.
Puis, pour faire beaucoup de cyclotourisme dans le sud du Québec, je trouve que l’attitude des automobilistes change selon les régions et les villes. Parfois c’est pas seulement une question d’infrastructure cyclable, mais aussi l’infrastructure routière et l’attitude des automobilistes qui l’accompagne. Quand une ville est composée d’un quadrillé de boulevards à 4 voies, ça donne une certaine attitude aux automobilistes. Avec ou sans pistes cyclables.
La seule “excuse” de St-Hyacinthe est d’être une ville relativement compacte avec peu de grands boulevards. J’ai beaucoup moins peur de faire Douville à Ste-Rosalie que de faire St-Nicéphore à Grantham, par exemple.
Autre comparaison, Vaudreuil (et Dorion) est super étendue et a une population comparable à St-Hyacinthe. Il y a des pistes cyclables qui longent les boulevards, mais il y a aussi des “beg buttons” à chaque intersection. Si on appuie pas sur le bouton, on traverse pas. Parfois quand on arrive au mauvais moment dans un cycle, faut en attendre deux avant de traverser. Et la ville installe des petits drapeaux orange que les piétons doivent agiter, pour inciter les automobilistes à arrêter aux traverses piétonnes. Cette ville a plein de pistes, mais elles sont majoritairement désagréable à utiliser car les piétons et cyclistes passent toujours après les autos, s’ils ont appuyés sur le bouton. Bref, comme à Drummondville, plein de grands boulevards, la priorité aux autos, et ensuite ils se demandent pourquoi les automobilistes arrêtent même pas pour laisser traverser les piétons.